Auteur : Sweet Judas

Les 10 reprises Cultes de Glee

Play me some memories

Oui, la photo est totalement déformée sur la gauche. Aucun être humain n’a un pied aussi ridiculement long et maigre. Peut-être que je ne l’ai encore jamais dit par ici, mais il fût un temps où je consommais du Glee à n’en plus finir et où je passais mes journées à en écouter les chansons (et peut-être aussi à les chanter mais ça, vous ne le saurez jamais). Mais Glee, qu’est-ce que c’est ? C’est tout simplement LA série de teen spirit par excellence, débordante de paillettes, d’amourettes adolescentes et de bons sentiments (à l’américaine, avec zéro subtilité dedans) qui te vend du rêve en barquettes. 

Fear The Walking Dead, le spin-off dérivé de la série The Walking Dead, diffusé sur AMC depuis 2015.

Fear the Walking Dead – Saison 2 (I)

/!\ Article très long & plein de spoilers donc vous pourrez pas dire que je vous avais pas prévenu. Alors que la saison 7 de The Walking Dead vient de démarrer (enfin, on est déjà en pleine pause hivernale mais j’ai commencé le brouillon de ce billet en octobre)(mais bon hein flûte), j’arrive en retard (comme d’habitude) pour dresser le bilan rapide (non c’est faux, ça va être très long) de la deuxième saison de son ersatz aussi fade que creux et d’une platitude sidérante : Fear the Walking Dead. J’en avais déjà parlé par là-bas lors de la sortie de la première saison l’année dernière. Franchement, j’ai beau être bon public, j’avais pas été très emballée. C’était pas complètement nul non plus, de temps en temps y’a l’espoir d’un truc cool mais se fait en général plomber par des personnages inintéressants et superficiels, voire carrément idiots (coucou Chris, coucou Travis, on pense à vous) quand d’autres sont purement et simplement sous-exploités (coucou Nick, coucou Strand) et les derniers carrément useless (coucou Alycia, coucou Ofelia).

Halloween et le top trois des derniers navets que j'ai vus en matière de cinéma d'horreur.

Du pop-corn pour Halloween.

Au lieu de refaire un énième post à l’occasion d’Halloween (même si, techniquement, on est déjà mi-novembre et que donc je suis en retard mais chut on a rien vu), post qui qui porterait aux nues l’intégralité des productions James Wan, vous conseillerait de regarder Shining (alors que je ne l’ai jamais vu)(mais j’ai lu le livre, qui m’a traumatisée à vie, merci bien Stephen), Massacre à la Tronçonneuse ou encore l’intégralité des Romero (parce que tu peux pas prétendre aimer les zombies sans vénérer le monsieur à moustache, c’est comme ça)(pire encore, tu ne peux pas admettre en public que t’as aimé World War Z, paraît-il que c’est trop la honte)(sauf que moi j’ai grave kiffé et je dis flûte aux rabats-joie), je vais plutôt parler des derniers VRAIS GROS NAVETS que j’ai eu l’occasion de voir et que je ne recommanderais à personne, même pas à mon pire ennemi. Parce qu’on peut se l’avouer : un vrai bon film d’horreur, ça court quand même pas les rues ces temps-ci.

You're Next, pour une fois, un slasher qui en met plein la vue.

You’re Next

J’aime beaucoup les films avec des gens qui crient et qui se font couper des morceaux de bras à coups de haches (les slashers, quoi) mais il faut se rendre à l’évidence : tomber sur une vraie perle relève de l’exploit. Je recherche pas spécialement la subtilité hein, c’est pas ce qu’on demande à des films comme ça MAIS QUAND MÊME un minimum syndical, au hasard des personnages pas trop cons qui évitent de s’enfermer à la cave alors que leur baraque est encerclée de psychopathes, par exemple (j’dis ça, j’dis rien hein) ?

Suicide Squad, le film qui aurait pu être bien mais non, en fait.

Suicide Squad

*Ça va être super long, j’préfère prévenir. Après l’attente de The Revenant & Civil War, figurait sur mon calendrier personnel la sortie de Suicide Squad, un énième blockbuster estival mettant en avant ce que l’univers DC Comics a réussi à créer de mieux : ses méchants. Après le lamentable échec de Batman vs Superman, ça jouait donc gros et le teasing autour de Will Smith et ses copains a été aussi (voire plus) agressif que celui des aventures de Steve Rogers qui part en gué-guerre contre son ancien meilleur pote Tony. Avant de rentrer dans le vif du sujet, je reconnais une chose, c’est que DC met clairement la pâté à Marvel en matière de bande-annonces :

The Walking Dead et ces personnages morts qu'on ne regrette pas (oui, Lori Grimes, c'est de toi que je parle).

Les morts de Walking Dead qu’on ne regrette pas (du tout).

(C’est tout plein de spoilers.) Pas besoin d’approfondir la lecture de ce blog pour comprendre rapidement que je suis tombée dans la marmite du binge-watching, version Obélix mais sans menhirs, pantalons à rayures ou force surhumaine. Avec Dexter & Game of Thrones, The Walking Dead est la troisième série que je suis depuis ses débuts, chaque épisode opérant un cumul de miles niveau stress, entre rongeage de cuticules et crêpage de chignon devant chaque générique de fin (on en parle du final de la saison 6 ?).

La playlist de la honte spéciale '90s sur Sweet Judas

La playlist qui met quinze ans dans la vue.

Etant née au début des années 1990, j’écoutais un tas de choses qui feraient certainement un bide aujourd’hui. Et c’est quand même bien dommage parce que niveau swagg’, ça se posait là. Ma génération a ainsi vu naître Britney Spears sainte-nitouche devenue Sexy Brit-Brit puis Destroy Brit-Brit pour renaître de ses cendres de superstar tel le phénix de la musique pop (#foreverBritBrit). Bon, on n’a pas eu la même adolescence et encore moins la même entrée dans le monde adulte mais ça ne m’a pas empêchée de connaître quasiment par cœur tous ses albums (le meilleur étant In The Zone)(on peut essayer d’en débattre mais en fait non)(bisous).

Les requêtes cheloues de Google, troisième épisode

Les requêtes cheloues de Google #3

De temps en temps, je pars explorer les tréfonds de mes statistiques sur Google Webmaster Tools (ou Google Search Console, pour ceux qui se tiennent au courant du truc)(rien ne change, sauf le nom, comme Apple et ses Iphones) et je découvre avec une certaine appréhension émotion ce qu’on a tapé dans le moteur de recherche pour atterrir ici. Autant dire que je n’ai jamais encore jamais été déçue, en témoigne les deux derniers voyages made in SEO et son trafic absolument pas qualifié, ici & ici. Mais bon, rien n’est vraiment qualifié ici, sinon ça se saurait.